Le photovoltaïque, une seconde vie pour d’anciens sites industriels


Urbasolar possède une expérience de plus de 10 ans dans l’implantation de centrales au sol sur des sites industriels. Ces terrains ont pu faire l’objet :

–             d’une activité industrielle minière

–             d’une activité de gestion de déchets

–             d’une exploitation de matériaux (pour béton, ciment, pyrotechnie etc…)

–             de stockage d’hydrocarbures , etc…

Aujourd’hui, le groupe exploite près de 60 centrales au sol sur ce type de site pour une puissance cumulée de plus de 430 MWc.

Les terrains d’implantation de ces projets sont dits « dégradés » du fait de leur activité passée. Ils nécessitent une grande expertise pour s’adapter à leurs contraintes (topographie, nécessité de dépollution, évitements et servitudes spécifiques…). Ils représentent un potentiel important pour le développement de la production d’énergie renouvelable.

Nous nous attachons à la revalorisation écologique du terrain pour favoriser le retour de la faune et de la flore sur l’environnement direct de la centrale photovoltaïque. Des bureaux d’étude indépendants mènent une étude d’impact environnementale, d’une durée d’un an, en amont de la construction du projet. Ce diagnostic nous permet d’identifier les enjeux écologiques du site afin d’éviter, réduire, ou compenser les impacts potentiels de la centrale sur son environnement.

La première centrale du groupe sur un ancien terril de mine se trouve à Gardanne, une commune des Bouches-du-Rhône. Mise en service en 2013, et d’une capacité de 9,3 MWc, elle produit chaque année assez d’énergie pour alimenter l’équivalent de 2150 foyers.

Plus de 10 ans après la construction de sa première centrale sur un site dit « dégradé », Urbasolar continue cette stratégie de déploiement. Ajouté aux 430MWc déjà en exploitation, c’est plus de 200 MWc de projets qui sont actuellement en développement et en construction sur ce type de terrain.